Togo : Echanges fructueux entre Sandra Ablamba Johnson et une délégation de haut niveau de la Banque mondiale

Sandra Ablamba Johnson (ministre, Secrétaire générale de la Présidence de la République) a reçu mardi dernier en audience au palais présidentiel à Lomé, une délégation de haut niveau de la Banque mondiale conduite par Andrew Dabalen (Économiste en chef pour l’Afrique).

Les échanges enrichis par la présence de Pia Peeters (Directrice du secteur de l’inclusion sociale pour l’Afrique de l’Est et Centrale), ont été l’occasion pour les deux parties d’aborder plusieurs sujets cruciaux, de faire le point, et de consolider le partenariat entre le Togo et l’institution de Bretton Woods.

« Notre rencontre a permis d’aborder des sujets cruciaux et de consolider le partenariat stratégique entre notre pays et la Banque mondiale. Les discussions, enrichies par la présence de Mme Pia Peeters (Directrice du secteur de l’inclusion sociale pour l’Afrique de l’Est et Centrale à la Banque Mondiale) et de M. Fily Sissoko (Représentant résident) ont mis en exergue les avancées significatives du Togo, notamment en matière d’amélioration du climat des affaires et de l’inclusion sociale », a souligné Sandra Ablamba Johnson.

« Nos invités ont salué ces avancées, notamment la position de leader du Togo en Afrique, selon l’évaluation des politiques publiques (CPIA 2023) et les résultats significatifs obtenus en seulement 16 mois de mise en œuvre du projet COSO, soutenu par la Banque Mondiale », a-t-elle précisé.

L’autre point crucial de notre rencontre, a poursuivi Sandra Ablamba Johnson, a été le « Programme d’urgence de renforcement de la résilience et de la sécurité des communautés (PURS), étendu à l’ensemble du pays, affirmant ainsi l’engagement résolu du Chef de l’État Faure Gnassingbé pour le bien-être de toutes les communautés togolaises ».

« Ces échanges et collaborations sont des étapes cruciales et un pas de plus vers un Togo toujours plus prospère, inclusif et résilient », a-t-elle conclu.

Rappelons que le portefeuille de la Banque mondiale au Togo a connu une progression significative ces dernières années sous l’impulsion des réformes gouvernementales, et se fixe aujourd’hui à presque 1,2 milliard de dollars (environ 719,5 milliards FCFA, soit une multiplication par 4 entre 2018 et 2023) avec une quinzaine de projets couvrant divers secteurs.

Dans le détail, le portefeuille se décline en 7 projets nationaux d’un montant total de de 452,10 millions $ (271 milliards FCFA), 9 projets régionaux estimés à 597 millions $ (358 milliards FCFA), et un appui budgétaire d’un montant de 150 millions $ (90 milliards FCFA). FIN

Junior AUREL