Wilfried Léandre Houngbédji (secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement) était dimanche sur le plateau de la télévision où il s’est prononcé sur plusieurs sujets : le mandat social promis par le chef de l’État, l’affaire Madougou/Aïvo, la situation des droits de l’homme dans le pays etc…
Le président Patrice Talon a affirmé le 23 mai dernier lors de son investiture, que son second mandat « sera hautement social ». Depuis lors, beaucoup de béninois se demandent ce qui changera réellement dans leur vécu quotidien.
« Ce qui déjà, ne va pas changer, c’est que le souci de la bonne gouvernance restera présent au cœur de l’action du président Patrice Talon et de son gouvernement. Ce qui ne va pas changer, c’est que la dynamique impulsée depuis 5 ans, va être maintenue et que les résultats qui ont commencé à être visibles, vont se faire de plus en plus amples », a-t-il souligné.
« Donc toutes les actions engagées depuis 5 ans, vont être intensifiées, vont être poursuivies, pour qu’à l’atterrissage, leurs effets impactent significativement la vie de nos populations », a-t-il précisé.
Ce dernier n’a pas passé sous silence les promesses faites par le chef de l’État lors de la campagne électorale.
Selon M.Houngbédji, le chef de l’Etat entend « faire en sorte que toutes les actions, tous les projets, tous les programmes qui sont mis en œuvre par le gouvernement, aboutissent réellement et impactent notre vie au quotidien ».
Abordant l’affaire Reckya Madougou/ Joël Aïvo, le porte-parole a estimé qu’il faut « laisser la justice faire son travail sereinement pour rendre un travail de qualité qui rassure les uns et les autres ».
Ce dossier, a-t-il poursuivi, suit son cours et ne souffre d’aucun mal, car la justice joue pleinement son rôle conformément à ses prérogatives.
« J’ai cru entendre, en écoutant les uns et les autres y compris les défenseurs de nos compatriotes concernés par cette affaire, que les dossiers seraient programmés pour être enrôlés dans les prochaine semaines et que la justice sera dite. Le temps judiciaire n’est pas le temps médiatique ou le temps politique. Il faut laisser la justice faire son travail », a-t-il martelé, invitant les béninois à éviter de mettre pression sur la justice. FIN
De Cotonou, Miracle JODEL
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