Des jeunes membres et sympathisants de UNIR sensibilisés mardi à Kpalimé sur les enjeux du scrutin présidentiel d’avril du 25 avril

Quelque 1000 jeunes membres et sympathisants de l’Union pour la République (UNIR, le parti au pouvoir) venus de 14 cantons des préfectures de Kloto ont été sensibilisés mardi à Kpalimé (environ 120 km au nord de Lomé), sur les enjeux du processus en cours lors d’une journée de réflexion visant à fédérer les énergies et stratégies pour la victoire du président Faure Gnassingbé à la présidentielle du 25 avril, a constaté le correspondant de l’Agence Savoir News sur place.

Initiée par le mouvement +Groupe Solidaire+ Klotoviwo (les natifs ou fils de Kloto), cette rencontre vise à inculquer aux jeunes de toute la préfecture de Kloto, la notion de la culture de paix, de non violence et de tolérance avant, pendant et après le scrutin présidentiel.

Le préfet de Kloto, Dr Awou Ottéko Apédo a assisté à la cérémonie d’ouverture en présence des autorités traditionnelles et administratives.

« Nous avons réuni les filles et fils de la préfecture de Kloto aujourd’hui pour soutenir notre frère qui est le Chef de l’État, Faure Gnassingbé au scrutin présidentiel du 25 avril prochain. Nous sommes à la veille de la campagne électorale et notre objectif est de nous préparer en conséquence. Nous essayons maintenant de les former sur la culture de paix pendant et après le scrutin », a souligné le Coordonnateur du +Groupe Solidaire Klotovowo+, Glé Kossi Seth.

« Comment est ce que nous allons travailler pour gagner ? Nous constituons une équipe et nous irons sur le terrain pour hisser haut et fort nos voix lors de la campagne et gagner le soir du 25 avril. Notre objectif c’est de nous organiser pour gagner les élections », a-t-il précisé.

M. Glé Kossi Seth a expliqué à l’assistance les grands chantiers dans lesquels s’est engagé le Chef de l’Etat notamment sa politique de paix, de réconciliation et de développement socio-économique, insistant sur la nécessité de sauvegarder tous les acquis en empêchant par tous les moyens le retour de la haine, de la division et de la violence.

Des travaux en groupe et en commission ont permis à ces jeunes d’identifier les problèmes qui freinent le développement socio-économique et culturel de leurs localités notamment les problèmes liés à l’accès à l’eau potable, à l’électrification, aux pistes rurales, aux marchés, au chômage des jeunes diplômés. FIN

De Kpalimé, Ahmed MAESTRO

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